Il faudrait faire le plein de bon gras, pour cela il faut bien-sûr miser sur les oméga-3 en remplissant les placards de noix, graines de chia et de lin, manger du poisson gras en privilégiant l’élevage sauvage ou le bio, et les petits poissons.
Misez sur les bons sucres ! On potasse le tableau des index glycémique sur internet des aliments pour limiter ceux qui affichent un IG élevé ( inférieur à 70 ) ; cerises ( 22 ), fraises ( 25 ), melon ( 72 ), pain au seigle noir ( 41 ) plutôt que la galette de riz ( 82 ) vous avez compris le principe …
Plus d’aliments alcalins et moins d’aliments acides. On attaque la journée avec un verre de citron pressé dans l’eau tiède, un must décidement qui stimule le foie et permet de mieux digérer les lipides au cours de la journée. Et on apprend à composer ses menus « à l’envers », en considérant les fruits et légumes comme le clou d’un repas, les protéines et céréales comme de simples accompagnements.
Arrêtons les sucres ajoutés. Il n’y a pas que les gâteaux qui contiennent du sucre. Pour repérer les coupables, on fait un tour sur Dealersucre, compte Instagram qui met en scène les aliments et leur équivalent en sucre : 7 morceaux pour une canette de coca, 3 pour un yaourt Activia vanille, 2 pour un pot de sauce tomate….
Revenir simplement aux produits bruts en limitant les aliments industriels, mais aussi les produits laitiers et les céréales, apparus plus tard, au néolithique, avec l’agriculture. Et on préfère autant que possible les produits de qualité, de préférence bio, locaux et de saison.